Sésames, ouvrez-moi !
REFRAIN :
Je cherche partout, je cherche tout l’ temps.
Ça va m’ rendre fou, je cherche et pourtant,
Tout autour de nous, il y’en a tell’ment :
Jusqu’autour du cou, en or, en argent.
Elle est banalité dans notre quotidien,
Quand elle est liberté au trousseau d’un gardien.
Elle est sécurité où sommeillent nos biens,
Clôt les propriétés, verrouille les jardins.
De huit, dix, douze ou treize, allen, à fourche, à pipe,
À molette ou anglaise, ou à griffe, elle équipe
Bien des corps de métiers, ateliers ou garages ;
Mécanos et plombiers en ont toujours l’usage.
AU REFRAIN
De fa, d’ut ou de sol, ancrée sur sa portée
Avec dièse ou bémol, en courbes dessinée,
Ell’ dit au musicien où, sur son instrument,
Faire courir ses mains ; que chantent corde ou vent !
Des champs, c’est un appel au rêve, à l’évasion.
Du mystère, elle est cell’ qui donn’ la solution.
De voûte, elle soutient les arches millénaires.
En combat, ell’ convient pour battre l’adversaire.
AU REFRAIN
Du Paradis, par tous elle est très convoitée…
Du bonheur, elle est douce et n’est jamais prêtée.
Mais de toutes, j’ai peur de perdre cell’, magique,
Qui accède à ton cœur, parce qu’elle est unique.
Texte écrit le 20/09/2010, à "musiquer"
Frédéric NYEL © (alias FredOueb)
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