Ma Cybèle
Dans le bleu azur de ses yeux,
J'ai rêvé des heurs tendres,
Des jeux dangereux, merveilleux,
Que je n'ai cessé d'attendre.
Dans ces perles où je me plonge,
Pour vivre au-delà du temps,
Folles, les minutes s'allongent,
Pour que mes yeux hésitants
La caressent d'un doux regard,
Pour ne pas la réveiller,
Et sur son visage s'égarent,
Soûls de s'être émerveillés...
Refrain :
Timide, et pourtant si belle,
De l'amour, tu es ma Cybèle.
Des sentiments nouveaux fleurissent
Dans mon coeur que je croyais vieux.
le voilà ivre de caprices
De cette beauté, amoureux.
Dans les vagues de ses cheveux,
J'ai rêvé des longs voyages,
Des jeux langoureux que je veux
Sources de libertinage.
Dans cet océan qui m'emporte
Pour vivre au-delà du temps,
Folles, les minutes transportent
sur leur fil la tentation...
Refrain :
Timide et pourtant si belle,
Du désir, tu es ma Cybèle.
Des sentiments nouveaux fleurissent
Dans mon coeur que je croyais mort.
Le voilà ivre de caprices
De cette beauté, sans remords.
Sur les courbes de son profil,
J'ai rêvé des nuits sans fin,
Des jeux interdits, mais subtils,
Jeux de mains, jeux de câlins.
Dans ce tableau impressionniste
Où les plaisirs sont immenses,
Folles, les minutes violonistes
Jouent pour elle une romance.
Et mes lèvres, impatientes
D'une heureuse découverte,
Se posent enfin, brûlantes,
Sur les siennes entr'ouvertes...
Refrain :
Timide et pourtant si belle,
Des passions, tu es ma Cybèle.
Des sentiments nouveaux renaissent
Dans mon coeur que je croyais triste.
Le voilà ivre de caresses
De cette beauté, égoïste...
Texte écrit le 2/02/1992, mélodie déjà écrite à orchestrer
Frédéric NYEL © (alias FredOueb)
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